Oli Epp
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Oli Epp, Shield, 2020
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Oli Epp, Swallow, 2020
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Oli Epp, Omen, 2020
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Oli Epp, Romantic Playlist, 2018
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Oli Epp, Catfish, 2018
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Oli Epp, Neighbourhood watch, 2018
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Oli Epp, You Spin me right round, 2018
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Oli Epp, Involvement, 2018
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Oli Epp, Abnormal Adonis, 2018
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Oli Epp, Detox, 2018
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Oli Epp, Ultra Vain, 2018
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Oli Epp, Self Hypnosis, 2018
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Oli Epp, Practice Makes Perfect, 2018
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Oli Epp, Bag for Life, 2018
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Oli Epp, Invisible, 2018
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Oli Epp, Multiple Choice, 2017
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Oli Epp, Sun Angel 3000, 2017
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Oli Epp, Multi multitasking, 2017
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Oli Epp, Black Swan, 2020
Né à Londres en 1994, Oli Epp vit et travaille à Londres. Ses peintures sont autobiographiques, parfois sur le ton de la confession, de l’irrévérence et maniant fréquemment le sens tragi-comique. Oli Epp se concentre sur des situations qu’il a observées, en public et en privé, qui passent souvent inaperçues, en un éclair. Il vise à révéler la comédie ridicule de certains rituels et comportements collectifs, en les réduisant à l’essence d’une situation et en créant des silhouettes humaines simplifiées, qui se prêtent à une sorte de parodie du monde réel, à la façon des bande-dessinées. Ces avatars ont des têtes sur-dimensionnées, hermétiquement closes par l’absence de toute caractéristique faciale, au point de devenir un reflet exagéré de l’interaction humaine à l’âge du post-digital – ces figures sont bêtement isolées, mais parées d’écouteurs, de vêtements de marque et d’objets signifiants pour la consommation et la communication.
Oli Epp utilise le langage visuel des marques et oscille entre le graphisme et les surfaces peintes pour créer une confusion optique, faisant écho à la manière dont nos vies réelles et digitales fusionnent.
Diplômé de la City & Guilds of London Art School en 2017, Oli Epp a bénéficié de nombreux prix et résidences. En 2018, Semiose lui consacre sa première exposition personnelle en galerie.