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    La plupart des peintures et dessins de Philemona Williamson représentent des jeunes filles, enfants ou adolescentes, engagées dans des scènes ludiques impliquant souvent des poupées. L’artiste dit ne pas avoir vraiment connu cet âge d’innocence et d’insouciance et avoir été très tôt propulsée dans le monde des adultes. Les enfants et poupées qui peuplent ses œuvres semblent incarner une enfance rêvée, un espace et un temps idéaux que l’artiste ne peut atteindre qu’à travers son art.

    Philemona Williamson (née en 1951 à New York) vit et travaille à Montclair, dans le New Jersey. Elle a obtenu un Master of Fine Arts à l’Université de New York en 1979. Sa première exposition dans un musée remonte à 1988, au Queens Museum of Art de New York. Elle a enseigné dans quelques-unes des plus prestigieuses écoles d’art de New York, depuis la fin des années 1980, et a formé plusieurs générations d’artistes. Elle est une des quinze lauréates du prix Anonymous Was A Woman 2022. Ce prix est décerné chaque année, depuis 1996, à des femmes artistes de plus de 40 ans, en reconnaissance de leur œuvre passée et en soutien de celle à venir.


    • Philemona Williamson
    • Memories Don’t Vanish , 2021
    • Huile sur papier
      • 56 ×
      • 76 ×
      •  cm
      /
      • 22 ×
      • 30 ×
      •  pouces
      •  non encadré
      • 64 ×
      • 84 ×
      • 4 ×
      •  cm
      /
      • 25 2/8 ×
      • 33 1/8 ×
      • 1 5/8 ×
      •  in
      •  framed
    • Philemona Williamson
    • Do You See Me? , 2020
    • Huile sur papier
      • 56 ×
      • 76 ×
      •  cm
      /
      • 22 ×
      • 30 ×
      •  pouces
      •  non encadré
      • 64 ×
      • 84 ×
      • 4 ×
      •  cm
      /
      • 25 2/8 ×
      • 33 1/8 ×
      • 1 5/8 ×
      •  in
      •  framed
    • Philemona Williamson
    • Everyday Invisibility , 2022
    • Huile sur papier
      • 56 ×
      • 76 ×
      •  cm
      /
      • 22 ×
      • 30 ×
      •  pouces
      •  non encadré
      • 64 ×
      • 84 ×
      • 4 ×
      •  cm
      /
      • 25 2/8 ×
      • 33 1/8 ×
      • 1 5/8 ×
      •  in
      •  framed
    • Philemona Williamson
    • Plus & Minus , 2017
    • Huile sur papier
      • 56 ×
      • 76 ×
      •  cm
      /
      • 22 ×
      • 30 ×
      •  pouces
      •  non encadré
      • 64 ×
      • 84 ×
      • 4 ×
      •  cm
      /
      • 25 2/8 ×
      • 33 1/8 ×
      • 1 5/8 ×
      •  in
      •  framed

    Amy Bravo, artiste new-yorkaise née dans une famille d’origine italo-cubaine, combine symbolisme – palmiers stylisés, coqs, chevaux, moustaches gominées –, artefacts issus de la culture populaire et religieuse latino-américaine et récits familiaux, pour inventer sa propre vision, intimiste et fantastique, de l’île de Cuba, mélange de connu et d’inconnu, de beauté et de confusion.

    Son approche de la peinture est non-conventionnelle. Aux classiques toiles tendues sur châssis, elle préfère des toiles libres aux formes irrégulières sur lesquelles elle mélange dessin au graphite et crayons de couleurs avec d’autres techniques : peinture, collage de fils, de pièces de cuir, de feuilles séchées, de dentelle et autres objets divers, témoins d’histoires personnelles ou familiales. Cette combinaison très personnelle de techniques, qui fait la part belle au Do It Yourself et au populaire, sert l’intention de l’œuvre : rassembler des identités complexes, recomposer une lignée familiale interrompue par l’exil, imaginer une maison ancestrale et dessiner les contours d’un monde mythique. Ses œuvres font ainsi naître une colonie rurale peuplée d’amazones, de lutteuses et de cowgirls, des femmes fières et libres au croisement des trois communautés revendiquées par l’artiste : femme, Brown, Latinx.

    Née en 1997 dans le New Jersey, USA, Amy Bravo vit actuellement à Brooklyn, New York. Après une licence au Pratt Institute, New York, elle a obtenu un Master of Fine Arts au Hunter College de New York en 2022. Parmi ses expositions récentes, on peut citer un solo show à Nada Miami avec Swivel Gallery et un duo show à Swivel Gallery, New York, en 2022. Elle a aussi été résidente à la Fountainehead Residency à Miami, en 2022.


    • Amy Bravo
    • Como Tu , 2023
    • Graphite, pastel, encre et crayon de couleur
      • 70 ×
      • 55 ×
      • 3 ×
      •  cm
      /
      • 27 1/2 ×
      • 21 5/8 ×
      • 1 1/8 ×
      •  in
      •  framed
    • Amy Bravo
    • Bloodroot , 2023
    • Graphite, pastel, encre et crayon de couleur
      • 70 ×
      • 55 ×
      • 3 ×
      •  cm
      /
      • 27 1/2 ×
      • 21 5/8 ×
      • 1 1/8 ×
      •  in
      •  framed

    • Amy Bravo
    • Temperance , 2023
    • Graphite, pastel, encre et crayon de couleur
      • 70 ×
      • 55 ×
      • 3 ×
      •  cm
      /
      • 27 1/2 ×
      • 21 5/8 ×
      • 1 1/8 ×
      •  in
      •  framed
    • Amy Bravo
    • Narcissus (The Cock) , 2023
    • Graphite, pastel, encre et crayon de couleur
      • 70 ×
      • 55 ×
      • 3 ×
      •  cm
      /
      • 27 1/2 ×
      • 21 5/8 ×
      • 1 1/8 ×
      •  in
      •  framed

    Figure majeure de la littérature du XXe siècle et génial inventeur de la technique du cut-up, William S. Burroughs (1914-1997) s’est taillé un costume d’icône de la contre-culture américaine, dont l’influence s’est exercée bien au-delà du monde littéraire. Consacrant les quinze dernières années de sa vie presque exclusivement à la peinture, il débute dès 1982 des expérimentations tout azimut, d’abord par les peintures de tirs de carabine, puis les combine paintings qui associent collage, pochoir, dessin à l’encre, spray et peinture.

    Fidèle à sa pensée non-conformiste, Burroughs peint en dehors de toute tradition ou règle préétablie, à l’aide ce qu’il a sous la main – ventouse, champignons, … – et sur des supports inattendus : chemises en carton, portes, ... Œuvres automatiques, processus aléatoires, matériaux trouvés, la pratique de l’artiste est traversée par la pensée chamanique, poreuse aux mondes invisibles et magiques.

    Les œuvres de William S. Burroughs ont fait l’objet de nombreuses rétrospectives aux États-Unis et en Europe, au LACMA, Los Angeles (US), au ZKM, Karlsruhe (DE), au Deichtorhallen, Hambourg (DE), à la Photographer’s Gallery, Londres (UK), au Espai d’Art Contemporani de Castellón de la Plana (ES). Ses oeuvres font partie des collections du Whitney Museum of American Art, New York (US), du Los Angeles County Museum of Art - LACMA, Los Angeles (US), du British Museum, Londres (UK), du Kochi Museum of Art, Kochi (JP), de la Kunsthalle Wien, Vienne (AT), du Museet for Samtidskunst / Museum of Contemporary Art, Roskilde (DK) et du Museum für Moderne Kunst (MMK), Frankfurt/Main (DE).


    • William S. Burroughs
    • Untitled (TOMORROW...) , 1992
    • Encre sur chemise cartonnée, recto verso
      • 93 ×
      • 77 ×
      • 3.8 ×
      •  cm
      /
      • 36 5/8 ×
      • 30 3/8 ×
      • 15 ×
      •  in
      •  framed

    Né en 1967, Guillaume Dégé a commencé par étudier le chinois aux Langues O’ où il a acquis une réputation de sinologue distingué. Co-fondateur en 1994, avec Daniel Vincent (alias Tom de Pékin), de la maison d’édition Les 4 mers, il est aussi un collectionneur avisé d'images, d’abécédaires anciens et de gravures qui nourrissent sa pratique du dessin et du collage.

    Depuis son premier livre, Un artiste à monter chez soi, publié en 1993, Guillaume Dégé a signé plus de trente ouvrages, parus entre autres au Seuil ou chez Gallimard. Au cours de sa vie d’illustrateur qui a précédé celle d’artiste, il a reçu des commandes de l'Opéra-Comique ou du MAC/VAL et collaboré régulièrement pour le journal Le Monde pendant une dizaine d’années. Ses dessins ont également été reproduits dans de nombreux titres de presse tels Libération, Beaux-arts Magazine, La Tribune, etc.

    Enseignant à la Haute école des arts du Rhin de Strasbourg pendant près de quinze ans où il a dirigé le pôle illustration, puis nommé en 2019 à l’École nationale supérieure des arts décoratifs de Paris, Guillaume Dégé a formé des générations d’artistes, graphistes et illustrateurs. Il est aussi enseignant et professeur associé de l'académie des beaux-arts de Xi'an en Chine depuis 2015. Il rejoint la galerie Semiose (Paris) au milieu des années 2000. Présentées entre autres à la Fondation d'entreprise Ricard (2007) et au musée de Sérignan (2009), ses œuvres font partie des collections du musée d'art moderne et contemporain de Strasbourg, des Frac Haute-Normandie et Île-de-France et du CNAP. En qualité de commissaire d’expositions, il a notamment conçu « Dessins pointus » à la Halle Saint-Pierre en 2004 et « Doré and friends » au musée d’art moderne et contemporain de Strasbourg en 2014.


    • Guillaume Dégé
    • Sans titre , 2022
    • Gouache et collage sur papier XVIIIe
      • 51.5 ×
      • 38 ×
      • 2.5 ×
      •  cm
      /
      • 20 2/8 ×
      • 15 ×
      • 1 ×
      •  in
      •  framed
    • Guillaume Dégé
    • Sans titre , 2022
    • Gouache et collage sur papier XVIIIe
      • 51.5 ×
      • 38 ×
      • 2.5 ×
      •  cm
      /
      • 20 2/8 ×
      • 15 ×
      • 1 ×
      •  in
      •  framed
      • Prix : 2 200 €
    • Guillaume Dégé
    • Sans titre , 2022
    • Gouache et collage sur papier XVIIIe
      • 46.5 ×
      • 37.5 ×
      • 2.5 ×
      •  cm
      /
      • 18 2/8 ×
      • 14 6/8 ×
      • 1 ×
      •  in
      •  framed
      • Prix : 2 200 €
    • Guillaume Dégé
    • Sans titre , 2022
    • Gouache et collage sur papier XVIIIe
      • 51.5 ×
      • 38 ×
      • 2.5 ×
      •  cm
      /
      • 20 2/8 ×
      • 15 ×
      • 1 ×
      •  in
      •  framed

    L’artiste new yorkais Steve Gianakos (né en 1938) commence à développer son langage artistique au milieu des années soixante, dans un contexte d’explosion du pop art d'un côté et d'apparition de l'art minimal de l'autre. De la ligne claire de ses peintures des années 1970-80 aux collages photocopiés qui se sont démultipliés par la suite, le trait est constamment resté précis et sobre, distillant ses vérités triviales avec une efficacité visuelle digne de la réclame. Si Gianakos pioche en artiste Pop dans des réservoirs divers – comics adultes ou livres pour enfants des années 1950 entre autres – et s’abreuve autant de références à Dada qu’au surréalisme, il couronne le tout d’une attitude punk ouvertement érotique et gore, qui lui vaut le qualificatif d’underground. Les scènes les plus obscènes, cocasses ou cruelles sont décrites avec un style naïf de bandes dessinées vintage, dans une joyeuse entreprise de sape de l’American Dream.

    Ses œuvres figurent dans de nombreuses collections publiques et privées parmi lesquelles le MoMA, New York (USA), le Guggenheim, New York (USA), le Whitney Museum, New York (USA) et le CNAP, Paris (FR). Exposé dans les années 1970 et 1980 à PS1 New York, chez Metro Pictures, Marian Goodman ou Barbara Gladstone, Gianakos a participé ses dernières années à des expositions collectives au MoMA, au Brooklyn Museum, au Queens Museum à New York ou encore au Bonnefantenmuseum de Maastricht aux côtés de Richard Artschwager, Peter Saul et John Wesley. En 2017, le Musée des beaux-arts de Dole (FR) a consacré une large rétrospective à son œuvre.


    • Steve Gianakos
    • How to murder your cow  (How to Murder Your Pet) , 1978
    • Feutre sur papier
      • 57.5 ×
      • 47.5 ×
      • 3.5 ×
      •  cm
      /
      • 22 5/8 ×
      • 18 6/8 ×
      • 1 3/8 ×
      •  in
      •  framed
    • Steve Gianakos
    • How to murder your seeing eye dog  (How to Murder Your Pet) , 1978
    • Feutre sur papier
      • 57.5 ×
      • 47.5 ×
      • 3.5 ×
      •  cm
      /
      • 22 5/8 ×
      • 18 6/8 ×
      • 1 3/8 ×
      •  in
      •  framed
    • Steve Gianakos
    • How to murder your hippopotamus  (How to Murder Your Pet) , 1978
    • Feutre sur papier
      • 57.5 ×
      • 47.5 ×
      • 3.5 ×
      •  cm
      /
      • 22 5/8 ×
      • 18 6/8 ×
      • 1 3/8 ×
      •  in
      •  framed
    • Steve Gianakos
    • How to murder your poney  (How to Murder Your Pet) , 1978
    • Feutre sur papier
      • 57.5 ×
      • 47.5 ×
      • 3.5 ×
      •  cm
      /
      • 22 5/8 ×
      • 18 6/8 ×
      • 1 3/8 ×
      •  in
      •  framed

    Hippolyte Hentgen est un duo d’artistes, composé de Gaëlle Hippolyte et de Lina Hentgen. Réunies sous ce nom fictif pensé comme une sphère de partage et un outil de mise à distance de la notion d’auteur, les deux artistes explorent un territoire de recherche principalement orienté vers l'image. Si leur pratique s’ancre dans le dessin, elles s'aventurent également dans d'autres champs de représentation, tels le spectacle, le décor, le film et la sculpture. En s’appropriant les codes de la bande dessinée et du dessin de presse, elles multiplient les tons (burlesque, naïf) et les références (de Jim Shaw aux cartoons des années 1930, de l’underground au modernisme, des motifs textiles aux papiers décoratifs japonais) et revivifient par glissement et greffe, une culture visuelle de masse. Puisant dans l'histoire de l'art comme dans la culture populaire, elles s'emparent d’images iconiques inscrites dans la mémoire collective et les restituent dans un immense collage protéiforme et composite, d’une grande liberté stylistique. Les clichés culturels, usés jusqu'à la corde, entament une nouvelle vie sous la plume de Hippolyte Hentgen. À travers une large gamme de supports, de formats et de styles, l'œuvre flatte le plaisir rétinien et n'en finit pas de surprendre par sa verve colorée, drôle, parfois acerbe.

    Les œuvres d’Hippolyte Hentgen bénéficient de nombreuses expositions monographiques et ont récemment été exposées au MAMAC, Nice, au Festival Le Printemps de Septembre, Toulouse, au musée de l’Abbaye Sainte-Croix, Les Sables-d’Olonne, et au Festival Hors-Pistes, Musée national d’art moderne Centre Pompidou. Leurs œuvres figurent entre autres, parmi les collections du Centre national des arts plastiques (CNAP), Paris, du musée de l’Abbaye Sainte-Croix, Les Sables-d’Olonne, du MAC/VAL, Vitry-sur-Seine et de nombreux FRACs.


    • Hippolyte Hentgen
    • Eleni , 2022
    • Collage sur papier washi
      • 40 ×
      • 33.5 ×
      •  cm
      /
      • 15 3/4 ×
      • 13 2/8 ×
      •  pouces
      •  non encadré
      • 49.5 ×
      • 43 ×
      • 2.5 ×
      •  cm
      /
      • 19 1/2 ×
      • 16 15/16 ×
      • 1 ×
      •  in
      •  framed
    • Hippolyte Hentgen
    • Eleni  (Eleni) , 2022
    • Collage sur papier washi
      • 40 ×
      • 33.5 ×
      •  cm
      /
      • 15 3/4 ×
      • 13 2/8 ×
      •  pouces
      •  non encadré
      • 49.5 ×
      • 43 ×
      • 2.5 ×
      •  cm
      /
      • 19 1/2 ×
      • 16 15/16 ×
      • 1 ×
      •  in
      •  framed
    • Hippolyte Hentgen
    • Eleni , 2022
    • Collage sur papier washi
      • 40 ×
      • 33.5 ×
      •  cm
      /
      • 15 3/4 ×
      • 13 2/8 ×
      •  pouces
      •  non encadré
      • 49.5 ×
      • 43 ×
      • 2.5 ×
      •  cm
      /
      • 19 1/2 ×
      • 16 15/16 ×
      • 1 ×
      •  in
      •  framed

    Justin Liam O’Brien est un peintre narratif. Chacun de ses tableaux met en scène des personnages, pour la plupart masculins, dans des espaces inspirés de la vie quotidienne de l’artiste aussi bien que de la peinture ancienne. L’artiste se plaît à dépeindre l’ambivalence des émotions, souvent à la limite de la rupture, ou dans la seconde après l’explosion. Le rapport entre l’architecture et les corps est exploré dans ses dimensions psychologiques, que le corps soit montré dans la solitude d’un appartement, ou démultiplié dans une foule. Justin Liam O’Brien a développé un style très spécifique, immédiatement reconnaissable à ses formes arrondies, typiques des logiciels informatiques qu’il a pratiqué en tant qu’animateur 3D. Ses personnages ont souvent les traits de l’artiste ou de ses proches, tandis que leurs corps aux lignes galbées et à la peau lisse, peints en aplats de couleurs, dans une palette franche, avec très peu de modelé, seulement quelques dégradés, convoquent les archétypes de la peinture classique. Les compositions ramassées à l’intérieur du tableau et les perspectives courbes, produisent des effets claustrophobiques et désorientants. S’inscrivant dans une lignée d’artistes queer, O’Brien aborde les sujets de l’identité, de l’isolement, la tristesse et l’humour, dans un monde en mutation.

    Justin Liam O’Brien, né en 1991 à Flushing, New York, vit à Brooklyn. Diplômé du Pratt Institute en 2016, il a bénéficié d’expositions à la galerie Richard Heller, Los Angeles, et à la Monya Rowe Gallery, New York. Il a aussi participé à une exposition collective sur l’autoportrait, curatée par Sasha Bogojev à High Line Nine, New York. Son œuvre a fait l’objet d’articles dans Elephant Magazine, Artforum ou Juxtapoz.


    • Justin Liam O’Brien
    • An Overwhelming Question , 2023
    • Crayons de couleur sur papier
      • 55 ×
      • 55 ×
      • 2.5 ×
      •  cm
      /
      • 21 5/8 ×
      • 21 5/8 ×
      • 1 ×
      •  in
      •  framed
    • Justin Liam O’Brien
    • The Precarity of Waiting , 2023
    • Crayons de couleur sur papier
      • 55 ×
      • 55 ×
      • 2.5 ×
      •  cm
      /
      • 21 5/8 ×
      • 21 5/8 ×
      • 1 ×
      •  in
      •  framed

    Depuis les années 1990, Françoise Pétrovitch façonne l’une des œuvres les plus puissantes de la scène française. Parmi les nombreuses techniques qu’elle pratique – céramique, verre, lavis, peinture, estampe ou vidéo – le dessin tient une place particulière. Dans un dialogue constant avec les artistes qui l’ont précédée et se mesurant aux motifs incontournables de la « grande peinture » – Saint-Sébastien, natures mortes, etc. –, Pétrovitch révèle un monde ambigu, volontiers transgressif, se jouant des frontières conventionnelles et échappant à toute interprétation. L’intime, le fragment, la disparition, les thèmes du double, de la transition et de la cruauté traversent l’œuvre que peuplent animaux, fleurs et êtres, et dont l’atmosphère, tour à tour claire ou nocturne, laisse rarement le spectateur indemne.

    Des expositions monographiques lui sont régulièrement consacrées, en France et à l’étranger. Le FHEL à Landernau a accueillie une importante rétrospective de son travail et une exposition lui fut consacrée en 2022 à la BnF. En 2018, elle est la première artiste contemporaine à bénéficier d’une exposition monographique au Louvre-Lens. Depuis quelques années, Françoise Pétrovitch réalise de monumentaux wall drawings, et de très grands ensembles, comme pour la Galerie des enfants au Centre Pompidou, le West Bund Museum à Shanghai ou pour les Ballets du Nord. Ses œuvres figurent dans de multiples collections publiques et privées, notamment le Centre Pompidou, Paris (FR), le Museum Voorlinden, Wassenaar (NL), le National Museum of Women in the Arts, à Washington DC (US), le Musée Jenisch, Vevey (CH), les musées d’Art moderne et contemporain de Saint-Étienne (FR) et de Strasbourg (FR), le MAC VAL (FR), de nombreux FRAC, ainsi que les Fondations Salomon et Guerlain, le Fonds Hélène et Édouard Leclerc et le Fonds de dotation Emerige.


    • Françoise Pétrovitch
    • Sans titre , 2023
    • Lavis d'encre sur papier
      • 62 ×
      • 52 ×
      • 3.5 ×
      •  cm
      /
      • 24 3/8 ×
      • 20 1/2 ×
      • 1 3/8 ×
      •  in
      •  framed
    • Françoise Pétrovitch
    • Sans titre , 2022
    • Lavis d'encre sur papier
      • 171 ×
      • 132 ×
      • 5 ×
      •  cm
      /
      • 67 3/8 ×
      • 52 ×
      • 2 ×
      •  in
      •  framed

    • Françoise Pétrovitch
    • Sans titre , 2023
    • Lavis d'encre sur papier
      • 92 ×
      • 72 ×
      • 3.5 ×
      •  cm
      /
      • 36 2/8 ×
      • 28 3/8 ×
      • 1 3/8 ×
      •  in
      •  framed
    • Françoise Pétrovitch
    • Fumeur , 2022
    • Lavis d'encre sur papier
      • 160 ×
      • 120 ×
      •  cm
      /
      • 63 ×
      • 47 2/8 ×
      •  pouces
      •  non encadré
      • 171 ×
      • 132 ×
      • 5 ×
      •  cm
      /
      • 67 3/8 ×
      • 52 ×
      • 2 ×
      •  in
      •  framed