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    Depuis les années 1990, Françoise Pétrovitch façonne l’une des œuvres les plus puissantes de la scène française. Parmi les nombreuses techniques qu’elle pratique – céramique, verre, lavis, peinture, estampe ou vidéo – le dessin tient une place particulière. Dans un dialogue constant avec les artistes qui l’ont précédée et se mesurant aux motifs incontournables de la « grande peinture » – Saint-Sébastien, natures mortes, etc. –, Pétrovitch révèle un monde ambigu, volontiers transgressif, se jouant des frontières conventionnelles et échappant à toute interprétation. L’intime, le fragment, la disparition, les thèmes du double, de la transition et de la cruauté traversent l’œuvre que peuplent animaux, fleurs et êtres, et dont l’atmosphère, tour à tour claire ou nocturne, laisse rarement le spectateur indemne.

    Des expositions monographiques lui sont régulièrement consacrées, en France et à l’étranger. Le FHEL à Landernau a accueillie une importante rétrospective de son travail et une exposition lui est consacrée en 2022 à la BnF. En 2018, elle est la première artiste contemporaine à bénéficier d’une exposition monographique au Louvre-Lens. Depuis quelques années, Françoise Pétrovitch réalise de monumentaux wall drawings, et de très grands ensembles, comme pour la Galerie des enfants au Centre Pompidou, le West Bund Museum à Shanghai ou pour les Ballets du Nord. Ses œuvres figurent dans de multiples collections publiques et privées, notamment le Centre Pompidou, Paris (FR), le Museum Voorlinden, Wassenaar (NL), le National Museum of Women in the Arts, à Washington DC (US), le Musée Jenisch, Vevey (CH), les musées d’Art moderne et contemporain de Saint-Étienne (FR) et de Strasbourg (FR), le MAC VAL (FR), de nombreux FRAC, ainsi que les Fondations Salomon et Guerlain, le Fonds Hélène et Édouard Leclerc et le Fonds de dotation Emerige.


    • Françoise Pétrovitch
    • Tenir , 2022
    • Huile sur toile
      • 130 ×
      • 160 ×
      •  cm
      /
      • 51 1/8 ×
      • 63 ×
      •  pouces
    • Françoise Pétrovitch
    • Tenir , 2022
    • Huile sur toile
      • 130 ×
      • 160 ×
      •  cm
      /
      • 51 1/8 ×
      • 63 ×
      •  pouces

    • Françoise Pétrovitch
    • Lena , 2022
    • Huile sur toile
      • 240 ×
      • 160 ×
      •  cm
      /
      • 94 1/2 ×
      • 63 ×
      •  pouces
    • Françoise Pétrovitch
    • Sans titre , 2022
    • Huile sur toile
      • 240 ×
      • 160 ×
      •  cm
      /
      • 94 1/2 ×
      • 63 ×
      •  pouces


    • Françoise Pétrovitch
    • L'Ogresse , 2021
    • Bronze
      • 135 ×
      • 107 ×
      • 60 ×
      •  cm
      /
      • 53 1/8 ×
      • 42 1/8 ×
      • 23 5/8 ×
      •  pouces
    • Françoise Pétrovitch
    • Saint Sébastien (Juan Carreno de Miranda) , 2021
    • Lavis d'encre sur papier
      • 80 ×
      • 120 ×
      •  cm
      /
      • 31 1/2 ×
      • 47 2/8 ×
      •  pouces
      •  non encadré
      • 95 ×
      • 137 ×
      • 4.5 ×
      •  cm
      /
      • 37 3/8 ×
      • 53 7/8 ×
      • 1 6/8 ×
      •  in
      •  framed

    Issu d'une formation d'imprimeur, Hugo Capron décline en peinture le plaisir de reproduire une même image dans de longues séries qui cherchent à épuiser toutes les possibilités de variation. Ses tableaux sont généralement réalisés d'un seul jet et sans repentir, mais reposent néanmoins sur des équations techniques de précision. Longtemps intéressé par les correspondances entre un volume de peinture et une surface de toile à recouvrir, son retour de la villa Kujoyama en 2019 a amené un point de rupture. Ses œuvres ont commencé à représenter des sujets souvent classiques et anonymes, empruntés à l'histoire de l'estampe et à celle de la peinture.

    Les palettes d'Hugo Capron résultent de fines investigations chez des fournisseurs du monde entier à la recherche des nuances les plus justes. Sur la toile, elles se révèlent dans une gamme de matières, de jus et de surépaisseurs lumineuses qui font valoir la vitesse de l'exécution. Le geste est quasiment calligraphique, c'est une mêlée de virgules et de boucles.

    Hugo Capron (né en 1989), vit et travaille à Dijon (FR). Il est diplômé de l’École Nationale Supérieure d'Art et de Design de Dijon. En 2021, il est le lauréat de la 8ème édition de la Bourse Révélation Emerige. Son travail a été exposé dans de nombreuses expositions collectives et individuelles à l’Hôtel des Arts, Toulon (FR), au Centre Régional d’Art Contemporain de Montbéliard (FR), à la Collection Yvon Lambert, Avignon (FR), au Frac Bourgogne, Dijon (FR) et au Consortium, Dijon (FR). Ses œuvres figurent dans diverses collections privées et institutionnelles françaises et internationales.


    • Hugo Capron
    • Marégramme III , 2022
    • Huile sur toile
      • 160 ×
      • 170 ×
      •  cm
      /
      • 63 ×
      • 66 7/8 ×
      •  pouces
    • Hugo Capron
    • Petite vague , 2022
    • Huile sur toile
      • 50 ×
      • 60 ×
      •  cm
      /
      • 19 5/8 ×
      • 23 5/8 ×
      •  pouces

    Dépourvu de motifs picturaux, de récits et parfois même de couleurs, l’œuvre de l'artiste texan Otis Jones est discret mais intensément physique et obstinément original. Fuyant le grandiose, le peintre s'intéresse à l'essentiel : la relation entre la forme, la composition, la couleur et les nuances subtiles qui donnent à ses tableaux un caractère méditatif. Cratérisée comme la Lune, la surface est un palimpseste de la main du créateur. Pour obtenir une texture abrasée d'une intense profondeur visuelle, l’artiste répète un rituel empirique immuable : les toiles, grossièrement découpées, sont fixées sur des cadres en bois de forme irrégulière, puis peintes et poncées alternativement. Otis Jones emploie un nombre limité d'éléments formels – lignes, points et carrés – dont les couleurs contrastées sont extraites des couches précédentes et suffisamment importantes pour être épargnées de l'effacement.

    Ses œuvres communiquent avec le post-minimaliste, voire avec le Mono-ha japonais (mouvement artistique actif de 1968 à 1975, comptant parmi ses membres Nobuo Sekine, Jirô Takamatsu ou Lee Ufan, entre autres), mais tout entières concentrées sur le processus de peinture comme sujet, elles atteignent une aura ineffable de permanence.

    Né à Galveston, au Texas, en 1946, Otis Jones est diplômé de l'Université d'Etat du Kansas en 1969 et de l'Université d'Oklahoma en 1972. Il a reçu en 1982 une bourse de recherche de la National Endowment for the Arts et a enseigné à la Texas Christian University, à l'Université du Texas à Austin et à l'Université du Texas à Arlington. Les œuvres d’Otis Jones figurent dans de nombreuses collections privées et publiques telles que le Dallas Museum of Art, le Hammer Museum (Los Angeles), le Museum of Fine Arts (Houston), le San Antonio Museum of Art et le Nelson Atkins Museum of Art (Kansas City).


    • Otis Jones
    • White with Two Ivory Circles and Two Red Circles , 2022
    • Acrylique sur toile sur panneau de bois
      • 152.5 ×
      • 155 ×
      • 13 ×
      •  cm
      /
      • 60 ×
      • 61 ×
      • 5 ×
      •  pouces

    À la fois perplexe et fascinée par le flou entre vérité et fiction entretenu par la télévision et les réseaux, Yoora Lee tente d’arrimer sa peinture à des émotions bien réelles, traduites dans des scènes intimistes, des silhouettes affectées et des gestes suggestifs. Corps et objets respirent la même mélancolie et solitude, naturellement exprimées par des couleurs froides et pâles, analogues à la lumière bleue des écrans ou à la couleur délavée de vieilles vidéo. Des collisions de plans très cinématographiques ont lieu dans ses tableaux : à cheval entre plusieurs scènes, les compositions raccordent des moments éloignés, compriment de multiples perspectives, juxtaposent souvenirs, imagination et affects.

    La très grande proximité du cadrage place le spectateur dans une sorte d’étreinte amoureuse avec le tableau et ses sujets. Grâce à la délicate superposition de fines couches de peinture à l'huile et l’emploi de stries horizontales, l’œuvre de Yoora Lee se distingue par un style presque « impressionniste », influencé par les erreurs de technologies exhumées des années 1990. Les peintures tremblent et ressuscitent les images granuleuses de type VHS, les distorsions de bandes vidéo et le souvenir de la télévision pré-internet. En convoquant des médias obsolètes, les œuvres de Yoora s’abîment dans un sentiment d'incertitude et la nostalgie d'un passé récent.

    Née en 1990 en Corée du Sud, Yoora Lee a commencé une formation technique avant de s’installer à Chicago en 2016. Elle y a poursuivi ses études à l'Art Institute of Chicago et a obtenu en 2020 un MFA en peinture et dessin. Son travail est exposé à l'international, de Londres à Chicago (solo show à la Jude Gallery en 2021), de Los Angeles à Genève (group shows à la Nicodim Gallery et chez Mighela Shama en 2022) en passant par New York, Miami, Hong Kong ou Rome (respectivement chez Shin Haus, Surface Area, K11 Musea ou Andrea Festa Fine Art).


    • Yoora Lee
    • Fading , 2023
    • Huile sur toile de lin
      • 41 ×
      • 32 ×
      •  cm
      /
      • 16 1/8 ×
      • 12 5/8 ×
      •  pouces
    • Yoora Lee
    • Frozen summer , 2023
    • Huile sur toile de lin
      • 38 ×
      • 45 ×
      •  cm
      /
      • 15 ×
      • 17 6/8 ×
      •  pouces

    Abraham Poincheval (né en 1972 à Alençon, vit à Marseille) est un explorateur insatiable. Qu'il s'agisse de traverser les Alpes en poussant une capsule qui lui sert d'abri ou de s'enfermer une semaine dans un rocher, ses expéditions – itinérantes ou statiques – nécessitent un engagement total du corps. Les sculptures habitables que l'artiste conçoit sont des laboratoires au moyen desquels il fait l'expérience du temps, de l'enfermement ou de l'immobilité. Elles sont l'enveloppe qui accueille le performeur, l'objet qui perturbe le paysage et qui existe à travers les récits des témoins.

    Les œuvres et performances d'Abraham Poincheval font régulièrement l'objet d'expositions et d'invitations en France et à l'international. En 2017, le Palais de Tokyo l'invite pour une exposition personnelle durant laquelle deux nouvelles performances le conduisent à expérimenter les temporalités des règnes animal et minéral (Pierre et Œuf). Le Musée de la Chasse et de la Nature, Paris (FR), l'Institut d'art contemporain - IAC, Villeurbanne (FR), La Criée, centre d'art contemporain, Rennes (FR), le MAC VAL, Vitry-sur-Seine (FR) et le FRAC Paca, Marseille (FR) entre autres, lui ont récemment consacré des expositions personnelles. En 2019, il participe à la 15ème Biennale de Lyon (FR) où est projeté pour la première fois son film Walk on Clouds. Ses œuvres sont conservées dans les collections du Musée Voorlinden, Wassenaar (NL), du Centre national des arts plastiques - CNAP, Paris (FR), du Musée-Forum de l'Aurignacien, Aurignac (FR), du MAC VAL, Musée d’art contemporain du Val-de-Marne, Vitry-sur-Seine (FR), du Musée d'art du Valais, Sion (CH) et des FRACs Corse, Franche-Comté, Limousin, Occitanie et PACA (FR).


    • Abraham Poincheval
    • Le chevalier errant, l'homme sans ici , 2022
    • Acier inoxydable et aluminium
      • 220 ×
      • 80 ×
      • 90 ×
      •  cm
      /
      • 86 5/8 ×
      • 31 1/2 ×
      • 35 3/8 ×
      •  pouces
    • Abraham Poincheval
    • Walk on Clouds , 2020
    • Tirage argentique, caisson lumineux
      • 93.5 ×
      • 261.5 ×
      • 10 ×
      •  cm
      /
      • 36 6/8 ×
      • 103 ×
      • 3 7/8 ×
      •  pouces

    Né en 1980 à Versailles (FR), Laurent Proux vit et travaille à Paris.

    En peinture ou en dessin, Laurent Proux produit une imagerie puissante et inédite, qui cherche à résoudre par des choix formels les questions soulevées par ses sujets. Qualifié par certains de réaliste en raison des objets représentés – machines industrielles, lieux de travail, corps sexualisés, etc. –, son style s’émancipe par l’exploration continuelle de solutions picturales, intégrant aberrations, télescopage de plans et couleurs artificielles, définitivement affranchies de l’opposition entre figuration et abstraction. Le corps humain est traité par fragments, exagérations et silhouettes, pour mieux le rapprocher d’un corps-machine, politisé et violenté, souvent dérangeant, parfois sentimental. Construisant l’espace de son tableau comme une scène à la lisibilité altérée, l’artiste adresse à l’attention du spectateur une énigme visuelle et intellectuelle à arpenter du regard.

    Les œuvres de Laurent Proux sont conservées parmi les collections du Centre National des Arts Plastiques (CNAP), des Fonds régionaux d’art contemporains (FRAC) Occitanie, Limousin et Nouvelle-Aquitaine et du Fonds Municipal de la Ville de Paris (FMAC). Son travail a fait l’objet d’expositions au Mana Contemporay Chicago (US), au Shanghai Art Museum (CN), au Center for Contemporary Arts de Moscou (RU), au Musée d’art contemporain de Lyon (FR), au FRAC Limousin à Limoges (FR), au Lieu Commun à Toulouse (FR) et au Musée d'Art moderne et contemporain de l'Abbaye Sainte-Croix aux Sables-d'Olonne (FR).
    Laurent Proux est actuellement pensionnaire de la Casa de Velázquez à Madrid (ES).


    • Laurent Proux
    • L'Arbre , 2023
    • Huile sur toile
      • 200 ×
      • 180 ×
      •  cm
      /
      • 78 6/8 ×
      • 70 7/8 ×
      •  pouces
    • Laurent Proux
    • Le double , 2023
    • Huile sur toile
      • 200 ×
      • 180 ×
      •  cm
      /
      • 78 6/8 ×
      • 70 7/8 ×
      •  pouces

    Moffat Takadiwa crée des sculptures de grande envergure à partir de matériaux trouvés dans les décharges, majoritairement des déchets informatiques, des bouchons plastiques, des brosses à dents et des tubes de dentifrice. Après collecte et tri de ces petits objets réunis par formes et couleurs, toujours en très grande quantité, l’artiste tisse ensemble ces rebuts en de riches tentures. Suspendues aux murs, ces étoffes post-industrielles aux formes organiques atteignent par leur préciosité une aura d’objets totémiques ou ritualisés.

    Né en 1983, Moffat Takadiwa vit et travaille dans le quartier de Mbare à Harare, l'un des plus grands centres de recyclage et d’économie informelle du pays. Appartenant à la génération née après l’indépendance, il traduit dans son œuvre ses préoccupations liées aux questions de consommation, d'inégalité, de post-colonialisme et d'environnement. Dès ses débuts, il fait de sa pratique artistique un levier pour la réhabilitation de sa communauté, en travaillant avec de jeunes artistes et créateurs locaux, dans la perspective de fonder le premier quartier artistique au monde employant des matériaux reconvertis.

    Moffat Takadiwa a exposé ses œuvres dans les principales institutions du Zimbabwe ainsi qu'à l’étranger notamment au Craft Contemporary (USA), au Moore Building à l’occasion de l’exposition organisée par Jeffrey Deitch et Gagosian à Miami (USA), au ARoS Kunstmuseumat, Aarhus (DK), au Jameel Arts Centre, Dubaï (AE), au MACAAL, Marrakech (MA) et au Museum Arnhem (NL). Ses œuvres figurent dans de nombreuses collections publiques et privées parmi lesquelles le CNAP, le FRAC Alsace (FR), la Fondation H, Antananarivo (MG), Paris (FR), le Jameel Arts Centre, Dubaï (AE), l'Arsenal Contemporary Art, Toronto (CA) et le CC Foundation, Shanghai (CN).


    • Moffat Takadiwa
    • Cracking the system (a) , 2022
    • Touches en plastique de clavier d'ordinateurs, de calculatrices et de téléphones et déchets médicaux
      • 115 ×
      •  cm
      /
      • 45 2/8 ×
      •  pouces
    • Moffat Takadiwa
    • The red line , 2022
    • Têtes de brosse à dents en plastique et bouchons de bouteille en plastique
      • 250 ×
      •  cm
      /
      • 98 3/8 ×
      •  pouces

    Par conviction, Xie Lei a choisi la peinture parce quelle lui ouvre la voie dun langage traduisant son univers sensible et un terrain dexpérimentation pour creuser la spécificité de ce médium dans la contemporanéité. Sa pratique part du réel mais s’en échappe pour explorer des mondes équivoques, incertains, que son imaginaire transforme. La plupart de ses tableaux renvoient à des situations troubles ou inquiétantes, discrètement rattachées à des souvenirs littéraires et cinématographiques, ou bien puisées au creuset profond des sentiments. Il s’attache à la complexité des évènements, des situations et surtout à leurs ambiguïtés, leurs tensions. Sa peinture récente intrigue par un entre-deux, celui du sommeil et la mort, du supplice et l’érotisme. Les couleurs sont sombres, mais mutent pour devenir lumineuses, puissantes. La touche est fluide ou plus en matière. La peinture telle que la pratique Xie Lei se singularise en délivrant une autre perception du temps : salutairement, elle propose de ralentir le regard et d’échapper aux ivresses de laccélération et de limmédiateté.

    Xie Lei (né en 1983 en Chine) vit et travaille à Paris depuis 2006. Il est diplômé de la CAFA de Pékin et de l’ENSBA de Paris. Ses œuvres ont été exposées dans de nombreuses institutions : Mendes Wood DM, São Paulo (BR) ; Meessen de Clercq, Bruxelles (BE) ; PS120 , Berlin (DE) ; MAC VAL, Vitry-sur-Seine (FR) ; Langen Foundation, Neuss (DE) ; Musée national de lhistoire de limmigration, Paris (FR) ; Fondation Yishu 8, Pékin (CH) ; Fondation dentreprise Ricard, Paris (FR). Ses œuvres figurent dans des collections publiques et privées, telles que celles du MAC VAL, de la fondation Colas, de la Burger Collection et du X Museum à Pékin. Xie Lei a été pensionnaire de la Casa de Velázquez à Madrid en 2020-21 et de la Fondation Boghossian en 2022.


    • Xie Lei
    • Submission I , 2023
    • Huile sur toile
      • 170 ×
      • 130 ×
      •  cm
      /
      • 66 7/8 ×
      • 51 1/8 ×
      •  pouces
      •  non encadré
      • 172 ×
      • 132 ×
      • 7 ×
      •  cm
      /
      • 67 6/8 ×
      • 52 ×
      • 2 6/8 ×
      •  in
      •  framed